2008 : année internationale du corail

L’année internationale des récifs coralliens a été lancée officiellement jeudi 24 janvier à Washington. Présent pour l’évènement, le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer, Christian Estrosi, a plaidé pour la protection du corail calédonien.

A Washington, la France a voulu montrer son dynamisme en matière de protection de l’environnement et de son corail. Une délégation d’élus de Nouvelle-Calédonie a fait le déplacement aux Etats-Unis avec Christian Estrosi.
Et le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer, devant les délégations du Mexique et d’Australie, s’est présenté comme le « ministre des récifs et de la biodiversité ».

Déclinant toutes les interventions françaises pour la protection de la nature, il a expliqué : « Le New Deal environnemental déjà annoncé par Nicolas Sarkozy est quotidien en Outre-mer. Cet Outre-mer représente 10% des récifs mondiaux. Il ne faut pas sanctuariser les sites au détriment des peuples de la mer. »
L’objectif de la délégation française est de faire du lobbying pour l’inscription de la barrière de corail de Nouvelle-Calédonie au patrimoine mondial de l’UNESCO. La décision doit être prise en juillet prochain.


Coraux menacés
Cet événement, destiné à attirer l’attention du public sur les dangers de la disparition des coraux, et à susciter des initiatives pour leur défense, a été lancé à l’occasion de la conférence de l’Initiative internationale sur les récifs coralliens (Icri), dont les Etats-Unis et le Mexique assurent conjointement le secrétariat.
Depuis 1994, l’Icri (International Coral Reef Initiative) a pour vocation de protéger les récifs coralliens et leurs écosystèmes. Il regroupe des gouvernements, des organisations non gouvernementales, des agences des Nations unies et des organismes privés.

Les récifs coralliens sont menacés par des risques traditionnels comme la surpêche, la pollution et la sédimentation. Le réchauffement climatique provoque aussi une calcification du corail, puis sa mort. C’est le phénomène de "blanchiment du corail". Au dessus de 30°C, le milieu océanique devient toxique et des maladies mortelles pour les coraux se développent ; le pH des océans s’acidifie, ce qui ne contribue pas à la calcification des coraux

http://www.iyor.org/

jérome!!

Tout ca c'est bien joli, mais c'est que du blablabla, la France sera toujours egale à elle meme, on a des iles tropicales, avec des lagons, à la Reunion, iles que je connais tres bien, impossible de vivre avec cette richesse que possede l'ile, non pas en prelevant des coraux sauvages mais en les elevant, pas une seule autorisation donnée, non on prefere assister les reunionnais en leur donnant le rmi, c'est comme pour les bresiliens, on est emmerdé à chaque fois qu'il coupe un arbre, ca fait parti de leur richesse, en faite la france se fout royalement de leur foret, ce qui importe c'est l'oxygene que leurs arbres nous fournient afin d'evacuer la polution des europeens

Dernierement, nous avons recu un stocklist de post larve de la reunion, pour le recifal pas grand chose d'interessant mais c'est un debut prometteur

A la reunion, sur le lagon de l'hermitage, il y a la ferme aux tortues, avant ils elevaient des tortues pour fabriquer des lunettes, maintenant stop, ok mais pourquoi ne pas donner les autorisations afin d'elever des coraux, dans les canaux en béton qui alimentent la ferme en eau de mer naturelle, nagent plein de chirurgiens et des poissons papillon, et vous avez aussi des coraux qui poussent dedans, acropora, sarco, et autres montipora.

Pourtant, nous en metropole, on a le droit de couper des pins dans les landes, ou des chenes dans le centre de la france

En faites nous oui, mais les autres, la seule autorisation qu'ils recoivent, c'est de pouvoir crever en silence, alors que eux seraient contents et nous avec

Désolé pour ce coup de gueule, mais les reunions à tout va, et vas y que je te saoule pendant des heures, c'est bon

C'est bien Gaulois tout ça, Xavier. En France, il est difficile en effet de developper des entreprises nouvelles sauf avec des dessous de table et de bonnes relations. J'ai déjà gouter aux méandres de l'administration et la betise des professionnels de la peche il y a quelques années.